Le japon, c'est un peu "l'autre" pays de la gastronomie. On s'imagine que ces gens-là ne mangent que du riz et des sushis, et qu'ils passent leur temps à se battre à coup de katana en vociférant des râles incompréhensibles...
Eh bien rien du tout, la cuisine japonaise est au moins aussi variée que la cuisine française, et vous allez le voir avec un petit récapitulatif non exhaustif de ce que j'ai pu ingérer là-bas, en sachant que je n'ai pas tout goûté, à mon grand regret (c'est bien d'ailleurs pour ça que je dois y retourner :) )

Les Fast Foods

Tout d'abord, le japon n'est pas à l'abri de la malbouffe (d'ailleurs le taux d'obésité est dans la moyenne mondiale des pays industrialisés), et les fast-foods existent bel et bien, et MacDo, Mister Donut's et consors sont très présents dans le paysage.
J'ai d'ailleurs testé pour vous, un des premiers soirs à Nagoya, où tel un candide latin, je me disais qu'à 21h je trouverais bien un restaurant ouvert (idée stupide)... Eh bien j'ai fini au MacDo :) . Rien de bien intéressant à ajouter à ce niveau-là, les frites sont grasses et salées, le coca toujours coupé à l'eau, seuls les burgers sont un peu différents (beaucoup plus de sortes de burger au poisson je crois), et les portions sont plus petites que chez nous. Mais c'est toujours aussi glauque de manger tout seul au MacDo :). Yoshinoya est une chaîne de restauration rapide très répandue également, mais qui a une très mauvaise réputation (au niveau de la qualité), j'ai donc décidé de ne pas y mettre les pieds, pour économiser 300Yen par repas (apparemment les prix reviennent à 400-500Yen par repas, ce qui est très peu -environ 3,5 euros-)... C'est un peu le resto des étudiants ou des gens pressés qui n'ont pas envie de faire marcher leurs papilles ;)


Un élément intéressant est une chaîne de burgers japonaise (soi-disant "haut de gamme"), qui s'appelle "Mos Burger", et qui propose notamment dans sa carte ... des rice burgers... en fait, à la place du pain au sésame insipide, on a droit à 2 tranches de riz compactes, avec des viandes diverses (genre poisson, calamar au curry, steack...).

Et bien moi j'ai adoré, même si je déteste les burgers! Je ne comprends même pas pourquoi ça ne sort pas dans d'autres pays, je suis sûr qu'en France ça marcherait carrément...
En parlant de la France, ces quelques clichés montrent un peu l'engouement pour la France et ses produits :


Une autre facette de la restauration rapide japonaise, ce sont les restaurants qui proposent (uniquement) des plats à base de curry japonais. Ce curry est un peu différent de l'indien, je le trouve un peu plus sucré. Les plats se présentent de cette manière:

En fait on a une assiette avec d'un côté le riz gluant, et de l'autre la sauce curry, épaisse, dans laquelle on trouve des oignons, des carottes, du boeuf, des patates douces.. ça c'est la base. On choisit la "force" du curry (doux, medium, fort, très fort, arrache la gueule... il y a 5 niveaux ;) ), puis la viande. Alors là c'est varié, la forme la plus courante, c'est avec du porc pané (katsu curry).
En tous cas c'est délicieux, c'est brûlant (car tous les plats au japon se mangent brûlants, moi j'aime bien, mais il faut être habitué), et c'est surtout pas cher ! On peut s'en tirer pour 600-700Yen pour un katsu curry, ça remplit son homme et ça permet d'affronter le blizzard du mois de mars à Tokyo ;)


J'en ai mangé pas mal sur place, notamment à cause du rapport remplissage/prix ;) .

Viandes grillées, panées ou frites


On a beau dire, en tant que bon Français, on aime bien manger et on est habitué à de la bonne viande, à des plats qui tiennent un peu au corps. Le problème au japon, en fait ce sont les quantités. Donc des fois, une paire de sushis et une soupe, ça suffit pas, surtout quand il fait 10° dehors avec un vent de malade. Donc je me suis souvent retourné vers des plats un peu plus "costauds", à base de viandes comme les tonkatsu (porc pané sur une salade composée, avec une soupe et des petits légumes confits), des bols de riz avec des yakitori (brochettes de poulet, déclinées également en version boeuf, caille, légumes, etc.)...

...ou encore toute la famille des donburimono.
Ces plats sont toujours de gros bols de riz, avec au-dessus par exemple du boeuf grillé à la sauce soja (gyûdon), du poulet sauté avec une omelette (oyakodon)

Il faut savoir qu'on s'en tire toujours pour moins de 1000Yen (soit 7 euros) pour ces plats, qui s'accompagnent toujours d'une soupe, d'une salade éventuellement, de petits légumes confits et de riz.


A noter certaines soirées bien arrosées entre européens comme on a pu se faire avec Mathieu et son copain Jérémie dans un izakaya ou un yakinikku (restaurant barbecue, avec la plaque chauffante - ou le chaudron- au centre de la table), où l'on fait griller soi-même de fins morceaux de viande, assaisonnés, et arrosés de saké et de bières... On s'en était tiré pour 5000Yen par personne je crois, et on avait bien dû avaler 2 kilos de viande chacun et quelques hectolitres de bière :)
Une petite vidéo et 2 photos prises dans un yakinikku à Nagoya:



Les nouilles


Un autre plat très populaire au japon qui vient de chine : les ramens. Ce sont en fait des soupes, avec des bouillons divers, et des nouilles qui baignent dedans. Le plat d'origine est une soupe de nouille avec un bouillon à base de sel ou de soja, garni de 3 tranches de porc rôties, d'un demi oeuf dur et d'une feuille d'algue.
La première photo est celle d'un ramen épicé avec du boeuf haché, dégusté à 2 reprises dans un restaurant d'Ikebukuro, à Tokyo. Délicieux :)

Dans la catégorie des nouilles on a les soba, nouilles à base de sarrasin, qu'on retrouve dans énormément de plats.

On a aussi les udons, grosses nouilles blanches à base de farine de blé, qui se mangent froides ou chaudes (mais surtout froides), et que je n'aime pas du tout (on a l'impression d'avaler un serpent).

Ce sont des plats très populaires au japon, et n'importe quel restaurant vous en proposera. De plus ça doit être le plat le plus répandu en version lyophilisée, un peu comme nos bolinos à nous, qu'on peut acheter en quantité et pour une qualité médiocre, dans n'importe quel Konbini ("convenient store", supérette ouverte 24/24 qu'on trouve à tous les coins de rue qui vendent absolument de tout).

OBento


Une bonne manière de découvrir un assortiment de ces bonnes victuailles est de commander un obento (une boite compartimentée qui contient du riz, du poisson cru, de la viande grillée, des légumes...cf les photos ci-dessous, en fait c'est très variable). C'est l'équivalent de la "gamelle" des ouvriers chez nous, un obento fait le matin par la femme aimante et docile pour son travailleur de mari qui n'a pas le temps de manger au restaurant le midi, ou pour ses enfants (certaines ont d'ailleurs des génies d'imagination pour rendre le repas de leur progéniture plus ludique, jugez plutôt).

Okonomiyaki


Ah, les okonomiyaki... avant de partir au Japon, c'était un peu le plat mythique, introuvable en France, car soi-disant notre goût n'était pas prêt... J'ai appris par la suite qu'un restaurant le faisait à Paris, le Azabu (excellent restaurant au passage), et maintenant un 2ème en propose également, le Aki, Rue sainte-anne, qui fait des okonomiyaki comme là-bas, c'est à se damner ;) Le temple des okonomiyaki se trouve à Hiroshima et s'appelle "Okonomi mura" (le village des okonomiyaki en gros), et sur 7 étages, il n'y a que des étals les uns à côté des autres proposant des okonomiyaki de toutes les sortes. Bref, un okonomiyaki est une sorte de galette, ou plutôt de "pizza", cuite sur une plaque chauffante devant vous. C'est plein de bonnes choses comme de l'oeuf, du chou, du soja, du porc ou des fruits de mer (en général), le tout enduit de sauce wooster et saupoudré de katsuobushi ( de la bonite séchée et râpée qui se tortille avec la chaleur du plat, cf la vidéo ci-dessous, là où je ne sais pas ce que c'est et que je ne comprends rien à ce qu'on m'explique :) ). Des vidéos valent mieux que de longs discours, enjoy!

Poissons

Ben oui, le Japon c'est quand même d'abord et avant tout un archipel, et un pays de pêcheurs (et pas pécheurs, si vous m'avez suivi, quoique ... ), et donc la nourriture principale ici, c'est le poisson.


La cuisine du poisson est devenue ici un art, et on peut le déguster sous à peu près toutes les formes, cru, cuit, mi-cuit, j'en passe et des meilleures. La plus connue est évidemment le sushi, terme grossier derrière lequel on range toutes les sortes de poisson cru : les sashimi (tranches de poissons coupées finement et présentées telles quelles, en un bel arrangement au coeur de l'assiette, sans riz), les nigiri sushi (tranches de poisson posées sur un petit lit de riz gluant), les maki (rouleaux d'algue encerclant du riz et au centre il y a du poisson, ou autre), les temaki, les inari sushi (du riz enveloppé dans une gangue de tofu frit)....
On trouve même des restaurants spécialisés dans la cuisine du Fugu, le poisson-lune, qui peut être mortel si il est mal préparé (c'est apparemment le seul truc excitant pour donner envie de manger ce poisson, car à côté de ça, il paraît qu'il n'a pas beaucoup de goût... mais bon je n'ai pas goûté). J'ai d'ailleurs été assez étonné, vu la réputation de ce poisson, de voir sur les cartes de ces restaurants que les prix n'étaient pas exorbitants.
Notez au passage l'aquarium en façade du restaurant, qui contient les victimes désignées du chef cuisinier ;)



Bref, en poissons, y'a le choix, et pour en voir et en goûter un maximum pour pas trop cher, le meilleur endroit est le kaiten zushi, endroit que l'on pourrait traduire par "sushi bar" en france, même si c'est aussi un terme erronné.
En gros, on est assis au comptoir, devant nous défile un "tapis roulant" sur lequel les cuisiniers, de l'autre côté du comptoir, déposent des assiettes contenant en général de 1 à 6 pièces de "sushi".
Les sushis sont déposés sur des assiettes de différentes couleur, chaque couleur ayant son prix, les plats les plus chers étant évidemment les plus goûtus ou luxueux (comme l'anguille grillée ou le ootoro, partie la plus tendre du thon cru, qui se vend une fortune au marché), et les moins chers par exemple seraient les makis tout simples au saumon ou au concombre.
On a donc en permanence la tentation de prendre tout ce qui passe, tellement tout a l'air frais et délicieux (par opposition avec les sushi bar en France, où le choix se limite la plupart du temps à saumon-thon-maquereau, et pas toujours d'une fraîcheur extrême)!!
Et ça défile devant votre nez sans discontinuer, c'est un véritable supplice. Ci-dessous vous avez des photos avec une légende qui décrit plus ou moins précisément les plats photographiés.



Et un détail important (inexistant en France): l'ambiance qui règne dans ces restaurants. C'est incroyable, tous les serveurs crient à voix haute les plats qu'ils confectionnent (ou demandent à leurs collègues de faire tel ou tel sushi), ils hurlent les politesses d'usage quand quelqu'un arrive ou s'en va du restaurant, quand ils donnent les plats, quand ils prennent une commande... c'est hallucinant et vraiment sympa, j'ai vraiment adoré ces moments-là. C'est beaucoup moins "cérémonial" qu'un restaurant classique, et on n'a pas peur de parler fort :)
Ci-dessous 2 vidéos du Kaiten de Oasis 21, le centre commercial de Sakae à Nagoya, ça va vous mettre dans l'ambiance ;)


Le Riz

On ne peut pas parler de nourriture japonaise sans parler du riz, véritable ciment culinaire de ce pays. C'est pas dur, quasiment tous les plats sont à base de riz. Mais attention, c'est pas du Uncle Ben's long grain "qui ne colle jamais" (beuuurk), avec un arôme de papier et qu'on est obligé d'assaisonner de toutes les manières possibles (sel, poivre, sauce soja, nuoc-nam, ketchup ??)pour lui donner un semblant de goût... non non, c'est du riz rond (d'aucun appellent ça le riz gluant, je crois qu'il y a une différence mais là je ne suis pas assez cultivé pour pouvoir dire si c'est vrai), qui peut très bien se manger sans rien (du reste c'est un peu malpoli de mettre de la sauce soja dans son riz, souvenez-vous en si vous devez y aller un jour) et qui est intégré à merveille dans tous les plats.

Et si donc vous êtes comme je l'étais, à presque détester le riz tellement il est fade chez nous, eh bien ne vous fermez pas, franchement le riz gluant ça n'a rien à voir. Moi je suis converti en tous les cas.
Et pendant 3 semaines de repas à base de riz matin midi et soir, on n'a même pas l'impression d'en manger, tellement les compositions, les goûts, changent en fonction du plat. C'est vraiment surprenant quand on n'est pas habitué (a tel point que j'ai continué à en manger en rentrant en France, au moins 1 fois par jour :) )

Onigiri

Les onigiri sont un genre d'en-cas, un sorte de mini-sandwich coupe-la-faim, qu'on trouve n'importe où. Ils se présentent généralement sous la forme d'un triangle de riz, en fait une feuille d'algue pliée savamment dans laquelle on trouve du riz gluant, et au centre de celui-ci, une tranche de poisson cru (saumon, anguille, thon...), ou bien de la prune séchée, des légumes... C'est bon, frais, ça coupe vraiment la faim, et l'emballage est sorti tout droit du cerveau d'un ingénieur de la NASA, parceque franchement...
En fait,le gros problème des onigiri préfabriqués, c’est que le riz est humide, et le nori (l'algue), pour garder sa saveur, doit rester sec. Donc si on assemble le Nori a l’avance il n’est pas bon et emballer l’onigiri dans le nori demande un peu de dextérité. Donc quand on déballe l’onigiri, on enlève d’abord une languette, qui découpe l’emballage en deux.
Une fois la languette enlevée, on retire délicatement les deux moitiés de l’emballage, en suivant l’ordre indiqué sur l’emballage. Ce faisant, une séparation plastique entre le nori et le riz est retirée.
Au passage si vous ratez cette étape, votre onigiri va certainement exploser en vol et l'algue se déchirera en 12 morceaux ;)
Il suffit de replier le bord du nori pour manger un Onigiri fraîchement préparé. Génial non ? (merci à Thias pour l'explication)



Mes ptits déjeuners

Ben oui, tout de même je voulais pas mourir de faim, et pourtant j'avais un budget serré, alors au lieu de prendre mes petits déjeuners traditionnels dans les ryokans où je dormais (style poisson grillé, oeuf cru, soupe et thé, le tout pour environ 1000Yen, outch c'est cher!), j'ai allié l'utile à l'agréable en choisissant de faire un petit déj mixte en achetant ma pitance dans le konbini du coin ; un jus de fruit (car ça j'avoue, je peux pas m'en passer le matin), et très souvent un petit bento à 300 Yen comprenant la plupart du temps des makis, fourrés différemment selon l'humeur et la disponibilité. Utile car c'est pas cher (je m'en tirais généralement pour 300-400 Yen, moins de 3 euros), et agréable car... j'adore les makis :) Et puis c'est plein de riz, donc ça permet de tenir toute la matinée sans peiner! Les photos suivantes, si elles ne sont pas passionnantes, ont au moins le mérite de vous montrer ce que j'ai pu engloutir le matin là-bas.


Mais bon on n'en est pas moins français pour autant, des fois le mal du pays se fait sentir, alors on craque ;) :



Restaurants et magasins

Il y a aussi une bizarrerie dans certains restaurants pour nous autres, c'est la présence de "distributeurs de menu". En fait, on pourrait rapprocher ça de la restauration rapide ; on rentre dans le magasin, on va devant la machine qui arbore un joli panel de gros boutons comportant : le prix, la photo du plat et sa description (en japonais ça va de soi).
On n'a plus qu'à appuyer sur le plat (ou le menu) désiré, mettre les pièces ou les billets, et un ticket vous est remis par la machine. Ce ticket, vous le donnez à une serveuse qui passe par là, qui va le donner en cuisine et vous n'avez plus qu'à aller vous asseoir.
En général le plateau repas est là dans les 3 minutes, et on peut l'engloutir rapidement pour vite vite repartir au boulot, parceque ça fait quand même 12 minutes qu'on a arrêté de bosser, faudrait ptêt s'y remettre là ... 8-)

Bon alors honnêtement j'ai pas bien compris l'intérêt de ces machines, car on est toujours obligé de passer par la serveuse, et le temps qu'on a pris à choisir sur la machine, on l'aurait passé de toute façon devant le menu sur la table... Peut-être que c'est plus efficace pour le boulot des serveuses, je ne sais pas...
En tous les cas voici quelques clichés de l'intérieur de quelques restaurants, dont certains utilisent ces distributeurs.
J'en profite pour faire une petite dédicace à la chaîne Pepper Lunch, qui non contente d'avoir ces distributeurs (on l'aperçoit derrière la porte à droite sur la photo), propose des plats super bons, pas chers, à base de viande grillée dans le plat (un peu à la coréenne), de riz au maïs et surtout avec plein de poivre (j'adore le poivre :) ). A tester !!

Pour rester dans le domaine des restaurants, notons une particularité japonaise qui est de présenter les plats disponibles sur la carte directement en vitrine, grâce à des répliques en résine d'un rare réalisme, qui permettent de se faire une idée beaucoup plus concrète sur ce qu'on a envie de manger (plus qu'à partir d'une photo mal éclairée sur un menu moisi). C'est un art, même si j'en ai oublié le nom, et faut bien avouer que ça donne faim quand on voit tout ça :


Pour info, la dernière image a été prise chez Mitsukoshi. Kézako ? Quoi ?! vous ne connaissez pas Mitsukoshi ?? Eh bien.. c'est un peu normal, moi non plus, avant de débarquer à Nagoya je connaissais pas. :)
Mitsukoshi ça ressemble à un genre de magasin Printemps, ou Samaritaine, ce genre de grand magasin, quoi. Plein d'étages, plein de rayons, plein d'étals et d'exposants qui vendent leurs produits haut de gamme...
Et le sous-sol de ces magasins est REMPLI de nourriture :D C'est pas croyable, je vous assure, de voir ces kilomètres carré de plats dans toute leur diversité, proposer tout ce que le japon a à offrir en matière de cuisine. C'est proprement hallucinant et je vous conseille de regarder les vidéos ci-dessous pour vous en rendre compte.
C'est une vraie torture, mais sachez quand même qu'on peut déguster de-ci de-là quelques produits, notamment au rayon pâtisseries-sucreries ;) .

Les desserts

Tiens en parlant de sucreries... En fait n'étant pas trop "sucré", comme garçon, je n'ai pas beaucoup tenté l'aventure en matière de gâteaux autochtones... tout au plus cette pâte de riz gluante violette, entourée d'une feuille de vigne, extrêmement sucrée, pas mauvaise, et quelques biscuits... Je sais qu'il existe beaucoup de spécialités à base de pâte de haricot rouge, mais je préférais me gaver de maki aux tempuras plutôt que de manger du dessert ;)
A défaut j'ai quand même mangé de la glace au thé vert, un frappucino au thé vert (au Starbuck's Coffee, évidemment), des biscuits artisanaux de Kyoto achetés chez Mitsukoshi (rhâ lovely :D ) avec des goûts étranges : thé vert (forcément), graines de sésame noir, framboise, algue... et j'en oublie !!